Tu veux te lancer comme coach parental… mais tu ne sais pas par où commencer ?
Peut-être que tu ressens un appel profond à accompagner d’autres familles.
Peut-être que tu veux transmettre ce que tu as toi-même traversé, compris, dépassé.
Mais entre la vie de famille, le flou autour du métier, et le raz-de-marée de formations disponibles… tu ne sais plus vraiment par où commencer.
Ce que tu sais, en revanche, c’est que tu ne veux pas t’oublier dans ce projet, ni t’épuiser à force de vouloir tout bien faire.
Tu veux créer une activité qui ait du sens, qui respecte ton rythme, et qui te permette de rester présente pour tes enfants.
Si tu te reconnais dans ces lignes : cet article est pour toi.
De venir coach parental : pourquoi ces 7 compétences sont essentielles?
Quand on commence à envisager une activité de coach parental, on se sent souvent traversée par un mélange d’envie profonde… et de flou.
Tu as peut-être déjà exploré des contenus, suivi une ou plusieurs formations, écouté des conférences, sans pour autant te sentir pleinement prête à te lancer.
C’est normal.
Ce métier touche à l’humain, à l’intime, à l’éducation…
Et sans repères clairs, on peut effectivement se sentir dispersée, de douter, ou de s’épuiser à vouloir tout bien faire.
Ce que je te conseille, c’est de poser des fondations stables, alignées avec qui tu es, et avec la vie que tu veux préserver.
Les 7 compétences que je vais te partager sont issues de l’accompagnement que je propose dans ma future école. Elles sont là pour t’aider à construire ton activité à ton rythme et à ton image.
Voici les 7 bases sur lesquelles tu peux déjà t’appuyer pour avancer pas à pas, sans pression.
Compétence 1 : adopter une posture juste
Quand on imagine exercer comme coach parental, on pense souvent à « aider les autres », à « donner des clés », à « partager ce qu’on a compris ».
Et c’est précieux.
Mais très vite, on peut se retrouver à trop faire, trop dire, trop porter… au point de s’oublier dans la relation.
La posture juste, c’est tout l’inverse.
C’est savoir être là, sans être partout.
Créer un espace clair, rassurant, où l’autre peut déposer ce qu’il vit, sans se sentir jugé, ni guidé de force.
De plus, être coach parental, ce n’est pas être un parent modèle, ni un expert parfait.
C’est plutôt apprendre à écouter avec présence, à questionner avec finesse, et à poser un cadre sans envahir.
Il s’agit d’une posture qui s’apprend et qui se construit avec le temps, la conscience de soi… et les bons repères.
C’est l’un des tout premiers piliers que je t’enseigne dans ma future école.
Parce qu’une posture bien posée, c’est ce qui te permet d’accompagner sans t’épuiser, sans surjouer, et sans te trahir.
Compétence 2 : comprendre le lien parent-enfant
Quand on accompagne une famille, on entre dans une sphère intime, parfois fragile, souvent chargée d’émotions.
Il ne s’agit pas seulement d’écouter ou de partager des outils : il s’agit de comprendre ce qui se joue en profondeur, dans le lien entre le parent et l’enfant.
Le stress, les réactions de défense, les conflits, les colères ou les silences…
Ce n’est jamais “juste un comportement”.
Derrière chaque expression, il y a un besoin, une blessure, une histoire neurologique et émotionnelle.
Dans ma future école, je t’aide à poser les bases de cette compréhension grâce à des repères simples et concrets : la neurobiologie du lien, l’attachement, le développement de l’enfant, le rôle du système nerveux…
Pas besoin d’être une experte.
Mais avoir ces clés te permet d’accompagner avec plus de justesse, de douceur et de solidité.
Et surtout, de ne pas te sentir impuissante ou perdue face à ce que vivent les familles que tu soutiens.
Compétence 3 : structurer un accompagnement
Lorsque l’on débute dans le coaching parental, on a souvent l’élan du cœur.
On veut être là pour l’autre, l’écouter, le soutenir…
Mais sans structure claire, on peut vite s’éparpiller, improviser à chaque séance, et finir par douter de sa légitimité.
C’est pourquoi il est essentiel d’apprendre à construire un accompagnement qui a du sens, du cadre et une progression.
Concrètement, cela veut dire savoir :
poser un cadre sécurisant dès le départ,
faire émerger un objectif clair avec ton client,
proposer une progression douce mais structurée,
et observer les évolutions en cours de route.
Dans ma future école, je t’accompagne à développer cette capacité pas à pas, même si tu n’as jamais accompagné qui que ce soit auparavant.
Pourquoi est-ce si important ?
Parce qu’une structure bien posée, c’est ce qui te permet de te sentir en confiance, de gagner en clarté, et d’offrir à la personne en face un espace à la fois fluide et rassurant.
Compétence 4 : apprendre à se réguler émotionnellement
Dans l’accompagnement parental, les émotions sont partout.
Celles des parents bien sûr (qui se sentent parfois débordés, culpabilisent, sont à bout)
Celles des enfants aussi, même si tu ne les accompagnes pas directement.
Et puis, les tiennes.
Alors forcément, il arrive que tout cela vienne toucher quelque chose en toi.
Une blessure encore sensible, un souvenir, une fatigue que tu traînes.
Et c’est normal.
Car tu es humaine avant d’être coach.
C’est pour cela que la régulation émotionnelle et le développement de sa propre sécurité intérieure est une compétence centrale dans ce métier.
Pour savoir accueillir et respecter ce qui se passe, poser tes limites, garder ton centre… et revenir à toi, sans te laisser emporter.
Dans ma future école, je te transmets des outils concrets pour cultiver cette sécurité et régulation intérieure.
Car plus tu prends soin de ton espace intérieur, plus tu peux tenir celui de l’autre avec stabilité, présence et douceur.
C’est ce qui te permettra d’accompagner avec le cœur, et d’offrir à l’autre un espace de sécurité, sans t’épuiser ni t’oublier.
Compétence 5 : poser une éthique claire
Quand on débute comme coach parental, on est souvent animé(e) par l’élan du cœur, le désir profond d’aider, de bien faire.
Mais très vite, on se rend compte que ce métier touche à l’intime.
Et que pour se sentir à l’aise (et que l’autre se sente en sécurité) il faut plus qu’une bonne intention.
Ce qui fait toute la différence, c’est un cadre éthique posé, simple, mais clair.
Cela veut dire, entre autres :
respecter la confidentialité,
accueillir sans jugement,
savoir reconnaître ses limites,
être au clair sur son rôle (et sur ce qu’il n’est pas).
Dans ma future école, tu seras accompagnée pour poser ta propre charte d’éthique, une sorte de boussole intérieure et professionnelle.
Elle te permettra de te sentir légitime, ancrée, et protégée dans ta posture.
Tu verras que plus ton cadre est clair, plus tu peux accompagner avec aisance, sans avoir peur de “mal faire” ou de “déborder”.
C’est ce qui te rendra solide… et profondément respectée.
Compétence 6 : développer une posture d’entrepreneure
Tu veux exercer un métier qui a du sens.
Tu veux accompagner, transmettre, contribuer à quelque chose de plus grand.
Mais tu veux aussi en vivre.
Et c’est légitime.
Pourtant, quand on arrive dans le monde du coaching parental, on découvre souvent une réalité qu’on n’avait pas anticipée : il ne suffit pas d’être compétente… il faut aussi apprendre à se rendre visible, à proposer une offre, à trouver ses premiers clients.
C’est là que beaucoup de femmes se sentent perdues, voire mal à l’aise.
Elles ont l’impression de devoir “se vendre”, ou de devenir quelqu’un qu’elles ne sont pas.
Dans ma future école, je t’aide à poser une posture d’entrepreneure alignée et respectueuse de ton énergie.
Pas de stratégies agressives. Il s’agira de :
clarifier ton positionnement,
comprendre les besoins de ta cible,
- créer une première offre simple,
communiquer et te rendre visible avec authenticité.
Compétence 7 : créer ta propre voie
Il n’y a pas une seule façon d’être coach parental.
Et heureusement.
Tu n’as pas à calquer une méthode, ni à rentrer dans un moule.
Ton histoire, ton énergie, ta sensibilité, ton vécu de parent ou de non-parent… tout cela fait partie de ta richesse.
Créer ta propre voie, c’est oser t’écouter.
C’est prendre ce qui résonne chez toi, laisser de côté ce qui sonne faux, et construire une façon d’accompagner qui te ressemble profondément.
Dans ma future école, tu ne recevras pas une méthode toute faite à recopier.
Je t’invite au contraire à explorer, à tester, à ajuster…à te sentir libre dans un cadre clair.
Pourquoi ?
Parce que c’est cette liberté assumée, posée et incarnée, qui te permettra d’attirer les bonnes personnes,
et surtout… de tenir dans la durée.
Créer ton activité de coach parental, c’est aussi un chemin d’alignement personnel.
Et tu as tout à fait le droit de le faire à ton rythme, avec ton style, et selon tes propres règles.
Pour conclure
Tu viens de découvrir les 7 compétences essentielles pour créer une activité de coach parental alignée, stable et respectueuse de ton énergie et de ton authenticité.
Pour avancer à ta façon, avec plus de clarté et de sécurité intérieure.
Mais tu te demandes peut-être :
-Par où commencer vraiment ?
-Comment ne pas m’éparpiller ?
-Comment construire quelque chose de solide, sans m’oublier dans le processus ?
C’est exactement pour ça que j’ai écrit le guide « Les 5 leviers d’excellence pour devenir un coach parental d’élite ».
C’est une boussole. Un concentré de ce que j’aurais aimé recevoir moi-même au moment de me lancer.
Tu y trouveras des repères pour :
✅ te sentir légitime
✅ comprendre ce qui fait vraiment un accompagnement profond,
✅ poser les bases d’une activité stable, humaine et alignée,
✅ respecter ta sensibilité… tout en osant ta puissance,
✅ et imaginer un projet qui t’honore autant qu’il sert les familles.
Télécharge -le ici en cliquant ici.
D’ici là, prends soin de toi et des merveilleux loulous qui t’entourent 🌸